Un peu de lecture...
Pourquoi ne pas acheter un recueil de nouvelles érotiques et, chaque soir, chacun des partenaires lit une histoire à l'autre.
Nuit torride garantie!
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Pourquoi les jeunes générations (20-30 ans) ne parlent pas aux personnes de 50 ans et plus...ou très peu.?Pour goûter pleinement au bonheur de la vie, nous devons, avant tout, être content et satisfait de nous-même.
Pour être content de soi, il faut réaliser de belles choses. Pas de grandes choses, mais de belles choses.
oooOooo
Aujourd'hui je souris à tout le monde autour de moi! BLAGUE DU JOUR 1 :
Ma belle-mère
-Est-ce qu'on peut tuer sa belle-mère avec un journal?
- Oui, si le journal enveloppe une pierre.
*****
- Au zoo:
- Monsieur, monsieur, votre belle-mère est tombée dans le bassin des crocodiles!
- Et alors? Ce sont VOS crocodiles, alors vous n'avez qu'à les sauver vous-même.
*****
- Quelque part dans un pays du Golfe persique...
Un émir engueule son valet en voyant arriver devant son palais un autobus rempli de vieilles femmes.
- Je t'ai dit que je ne veux pas de touristes devant mon palais.
- Mais, monsieur, ce ne sont pas de touristes, ce sont vos belles-mères. Oups!
Un député d'Afrique du sud a perdu sa femme après lui avoir envoyé une lettre qui était destinée... à sa maîtresse.
Alie van Jaarsveld, un député du New National Party envoyait un petit mot torride à sa maîtresse Renée Thompson, son attachée politique, mais il y a eu erreur sur la personne.
C'est Anne-Marie, sa femme depuis trente ans qui a reçu la lettre et, disons que ce n'était pas dans ses habitudes!
Traduction libre...
"J'ai besoin de toi. On ne peut pas dormir séparément. Renée je n'ai jamais aimé une personne autant que toi. Vite. Viens me rejoindre."
Et vlan!
Quand on étudie l'histoire, on s'aperçoit que ce sont les individus qui font avancer les collectivités. - Un peu de lecture...
- Pourquoi ne pas acheter un recueil de nouvelles érotiques et, chaque soir, chacun des partenaires lit une histoire à l'autre.
- Nuit torride garantie!
- NB - Il y a de très bons textes dans la littérature québécoise